l'odeur de Brulé, c'est un truc que j'adore en général, mais là, en ce moement, moins.
Ces militaires sont vraiment des deumeurer, louper un poste d'atterissage aussi proche que la ruche pour s'écraser sur une lune quelconque! Pfff
Le vaisseau est un peu partout autour de nous, cokpit, réacteurs, salle de l'équipage, tout crâme!
La fumée me pique un peu les yeux, mais elle doit être encore plus génante pour les humains. Le pire, c'est mes jambes. Elles trembles et saigne abondément, la faute à ce guignol fourbe de toute à l'heure ( et un peu la faute au crache aussi).
J'aperçois une silhouette penchée sur une autre allongée au sol, à peine 4 mètres devant moi...apparement, leur misérable équipe s'est encore réduite, si ça continue je n'aurais bientôt plus rien à faire.
je m'écarte lentement et me dissimule dasn un cratère, l'heure est venue de mué, encore une fois.
Dans une heure, si il ne me trouve pas d'ici là, il auront enfin ce qu'ils méritent, en pire!
Avant que je ne ferme les yeux pour entrer en stase, j'aperçois dans le ciel un vaisseau, un étrange vaisseau éfilé, dont la forme, à la fois humaine et thurienne évoque en moi un espèce de mauvais présentiment.
Je parviens presque à lire le nom du batiment, quelque chose comme N....